Baignés dans une génération High Tech, les enfants eux aussi ont maintenant droit à leurs propres tablettes, comme la tablette Lexibook. Plus facile d’utilisation et adaptées à leurs âges,ces tablettes sont ludiques et proposent une utilisation en toute sécurité (contrôle parental, format, solidité…). Toutefois, la dernière étude qui a comparé la facilité de lecture à démontré que par rapport à l’affichage électronique, la lecture sur papier reste plus efficace et plus rapide.
Une autre crainte concernant les capacité d’apprentissage. L’apprentissage par le biais de supports numériques serait victime de la culture du zapping, empêchant une concentration longue et une progression logique de la réflexion alors que l’apprentissage des connaissances par via le livre papier serait porteur de ses mêmes valeurs. Cependant, aucune étude sérieuse ne vient confirmer l’une de ces thèses.
Aussi, les Académies (école numérique) se tâtent et procèdent à quelques expérimentation.
Cependant, pour les services culturels, le prêts numérique en bibliothèque est sur les rails. Avec 16.000 établissements en France, qui comptabilisent 200 millions de prêts., les attentes des éditeurs, lecteurs et auteurs (car cela pourrait représenter une véritable manne pour la rémunération des auteurs) sont nombreuses. Mais les obstacles sont encore nombreux : limitation des prêts par DRM, portabilité, lecture en streaming ou non, restriction d’accès aux documents(pour les mineurs), interopérabilité des formats, existence de métadonnées pour un bon référencement dans les catalogues de bibliothèque. Des éléments qui ont animés les discutions entre participants des dernières assises du livre numérique. Lire la suite →
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